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MERCK : Le numéro un du générique se met au rythme du marché

Publié le 23 novembre 2002
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Depuis juin 2002, le marché des génériques a franchi un palier : en septembre, une boîte sur deux vendue au sein du Répertoire est un générique. Dans ce contexte, Merck Génériques mise sur le développement de ses capacités industrielles pour absorber les évolutions majeures du marché et répondre aux besoins de la croissance en termes d’approvisionnement des officines. Le n° 1 des génériques en France a annoncé qu’une nouvelle usine de conditionnement, opérationnelle dès fin 2002, traitera à Lyon une part importante de la production.

Le pôle « recherche et développement » reste plus que jamais un enjeu stratégique majeur. Merck Génériques s’appuie sur le « sourcing » interne du groupe Merck Generics (plus de 400 projets en cours, présence sur l’ensemble des « blockbusters » internationaux, volonté d’arriver sur le marché en première position), une capacité de développement qui lui est propre pour répondre aux besoins spécifiques du marché français. En maintenant une cadence de lancement soutenue (plus de 20 nouvelles molécules par an), Merck Génériques devrait être le premier laboratoire à inscrire plus de 150 présentations au Répertoire tout début 2003. Sont attendues sous peu les sorties d’un générique de Nootropyl (avec semainier), de Diovenor (sous une forme galénique plus facile à absorber) et du Didronel.

Merck Génériques, qui devrait réaliser un CA 2002 supérieur à 140 millions d’euros, entend ainsi maintenir et consolider son leadership en France.

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