- Accueil ›
- Thérapeutique ›
- Médicaments ›
- Recherche et innovation ›
- Après le générique, voilà le « biogénérique »
Recherche et innovation
Réservé aux abonnés
Après le générique, voilà le « biogénérique »
Publié le 11 janvier 2003
Partager
Mettre en favori
Plusieurs génériqueurs se préparent déjà pour être présents au moment de l’expiration, dès 2004, des premiers brevets sur des médicaments obtenus par biotechnologie comme l’insuline Humalog, l’érythropoïétine Eprex ou l’interféron alpha-2b IntronA. Seulement la fabrication et la procédure d’homologation européenne des biogénériques seront plus complexes que pour les produits issus de synthèses chimiques. La configuration des composés biotechnologiques est généralement trop complexe pour garantir une similitude absolue et le critère de bioéquivalence n’est pas transposable à la biotechnologie. La différence de prix entre le princeps et son biogénérique risque d’être minime.
Publicité
Publicité
Publicité
- Tramadol et codéine : les points clés de l’ordonnance numérique sécurisée
- Analogues du GLP-1 : le conseil constitutionnel impose au médecin d’informer de la non-prise en charge
- Petit récap des nouvelles règles sur le tramadol et la codéine au 1er mars 2025
- Rupture de stock de Iopidine : par quoi le remplacer ?
- Quétiapine : pas de retour à la normale avant l’automne
- Bon usage du médicament : le Leem sensibilise les patients âgés
- Prophylaxie pré-exposition au VIH : dis, quand reviendra-t-elle ?
- Indus, rémunération des interventions pharmaceutiques, fraudes… L’intérêt insoupçonné de l’ordonnance numérique
- Financement des officines : 4 solutions vertueuses… ou pas
- Prescriptions, consultations : les compétences des infirmiers sur le point de s’élargir
Sur le même sujet…