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Après le générique, voilà le « biogénérique »

Publié le 11 janvier 2003
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Plusieurs génériqueurs se préparent déjà pour être présents au moment de l’expiration, dès 2004, des premiers brevets sur des médicaments obtenus par biotechnologie comme l’insuline Humalog, l’érythropoïétine Eprex ou l’interféron alpha-2b IntronA. Seulement la fabrication et la procédure d’homologation européenne des biogénériques seront plus complexes que pour les produits issus de synthèses chimiques. La configuration des composés biotechnologiques est généralement trop complexe pour garantir une similitude absolue et le critère de bioéquivalence n’est pas transposable à la biotechnologie. La différence de prix entre le princeps et son biogénérique risque d’être minime.

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