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Les cardiopathies congénitales à l’honneur
L’OMS prévoit une augmentation de 30 % de la mortalité par maladie cardiovasculaire d’ici 2030, et la France n’y échappera pas », prévient le président de la Fédération française de cardiologie Claude Le Feuvre. Cette année, l’appel aux dons Donocoeur (du 26 octobre au 3 novembre) met en avant la cardiopathie congénitale.L’affiche « De battre son cœur peut s’arrêter » souligne que les malformations cardiaques sont fréquentes chez le nouveau-né : 1 sur 100, soit 6 000 à 8 000 cas par an. Les avancées médicales permettent aujourd’hui à la majorité d’entre eux d’atteindre l’âge adulte mais des progrès restent à faire dans les filières de prise en charge.Un spot TV rappelle que le cœur est fragile à tout âge en mettant en scène les populations à risque : les seniors bien sûr, mais aussi les femmes (le risque cardiovasculaire représente la première cause de mortalité chez elles) ainsi que les jeunes, sportifs ou non, pour qui les spécialistes pointent comme responsables l’obésité, le tabac et la sédentarité.« 0 tabac, 5 fruits et légumes, 30 minutes d’activité physique et le minimum de stress par jour » est le message à répéter tout au long de cette campagne. Et même après.
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