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Autres temps, autres mœurs…
À la suite du salon Pharmagora, qui a eu lieu début mars, vous dites que l’officine connaît un désamour, que deux sur trois recherchent un pharmacien ou un préparateur. C’est vrai, la profession ne présente plus l’attractivité qu’elle a pu avoir à une époque. Je ne suis pas sûr que les salaires en soient responsables. La société a énormément évolué, la crise sanitaire a changé la donne, et pas seulement dans le secteur de la santé. C’est compliqué un peu partout, dès lors qu’il y a des contraintes. Comme si, maintenant, tout devait être facile, tout le temps. Oui, les métiers de la pharmacie présentent certaines contraintes, oui, on ne gagne pas des salaires délirants, mais moi, j’aime mon métier. Le système éducatif y est aussi pour beaucoup. J’espère que l’on va réussir à s’adapter à la mutation de la société. J’y crois, même si cela va prendre du temps !
Benoît, préparateur à Nancy (54)
Porphyre répond
Oui, la société évolue, comme le sens donné au travail. Vous évoquez les contraintes, mais cela va sans doute au-delà. En revanche, il ne faudrait pas tout mettre sur le dos de la crise car le management, les salaires et la reconnaissance en général peuvent encore s’améliorer…
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