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- Grabels (Hérault)
Quel confort de travailler avec ses parents ! C’est 100 % confiance et j’ai des facilités si mon bébé est malade, par exemple. » Après son bac, Hélène Faivre voulait aussi être architecte. Peu porteur… L’élève, bonne en maths et en chimie, procède par élimination. Elle optera pour la faculté de pharmacie. Diplômée en 1999, la jeune pharmacienne suit son mari, ingénieur, à Nancy et travaille comme adjointe. L’intégration dans l’officine maternelle de Montpellier, ce sera pour 2005. « C’était inespéré ! Quand on voit le nombre de pharmaciens qui ne peuvent pas s’installer… » Depuis un an, la mère et la fille sont associées. Elles ont créé une société où les bénéfices sont partagés. « Quand on est en famille, serein et confiant, c’est mieux qu’une SEL. La compta, c’est ma mère. Elle a tout ça en tête. Moi, je me charge de moderniser l’entreprise, ce qu’elle n’a plus envie de faire. Quand on arrive, il faut y aller doucement, ne pas révolutionner d’un coup, cela peut blesser », tempère-t-elle cependant. Cela étant, Hélène pense qu’il faut savoir bouger avec son temps. « La pharmacie est un métier qui a de l’avenir si on le fait bien. Mais il faut être prêt à dégainer… » Sur ce point aussi, la mère et la fille sont d’accord.
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