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« Je suis préparateur, donc je vends » Cette affirmation n’est pas du goût de tous, du moins, pas sans réserves. Car l’officine n’est pas un commerce comme les autres, et la vente doit obéir à l’éthique pharmaceutique. Même si, comme le souligne Marc Roussel dans son livre Le vendeur éthique(1), fringues, voiture ou produits de santé, la vente est « un processus de communication qui relie l’offre et la demande », une « fonction sociale qui accélère le processus d’échange ». L’offre étant ce que vous pouvez apporter d’utile au client, la demande, ce qu’il est prêt à payer pour satisfaire un besoin qui lui est propre.
Pourtant, la question s’amplifie avec l’évolution économique de la pharmacie, alors qu’aucun officinal n’est initialement formé à la vente et à son langage spécifique.
Du coup, Porphyre devait mener l’enquête (à retrouver p. 18), recueillir votre sentiment, et tenter d’apporter quelques pistes de réflexion sur le sujet pour sortir la tête du panier… moyen.
Si la question de la vente à l’officine vous préoccupe, venez assister au débat Porphyre sur ce même thème, le dimanche 30 mars à Pharmagora, à Paris.
En attendant, vendez – pardon !–, portez-vous bien !
(1) En vente sur www.ircar-formation.com
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