- Accueil ›
- Business ›
- Transactions ›
- Acquisition ›
- LE CONSEIL
Compte tenu des avantages et des inconvénients respectifs des régimes à l’IR et à l’IS, l’idéal pour un jeune pharmacien diplômé est de s’installer à l’IS (pour bénéficier d’une meilleure capacité d’endettement) et de vendre à l’IR (sortie fiscale moins onéreuse qu’à l’IS). Michel Watrelos, du cabinet Conseils et auditeurs associés, lui suggère de s’associer en SEL avec un investisseur qui ne détiendrait que le minimum requis de parts sociales (5 %), puis de racheter sa participation quelques années plus tard. La société devient alors ipso facto une SELURL, tandis que l’associé unique opte pour le régime à l’IR et pourra ainsi, le moment venu, céder l’officine ou ses parts dans des conditions plus avantageuses.
Publicité
Publicité
Publicité
- L’IA au service des pharmaciens : un levier contre la fraude aux ordonnances ?
- « Non, monsieur Leclerc, les pharmaciens ne sont pas des nuls ! »
- [VIDÉO] Médicaments : on vous livre cette idée…
- Sante.fr : l’outil de référence pour faire connaître ses services aux patients
- Campagnes publicitaires de médicaments OTC et des produits de parapharmacie
- Dispensation à l’unité : chassez-la par la porte, elle revient par la fenêtre
- Quelles populations sont actuellement à risque de développer un scorbut ?
- Gilenya (fingolimod) : quelles conditions de délivrance ?
- [VIDÉO] Arielle Bonnefoy : « Le DPC est encore trop méconnu chez les préparateurs »
- [VIDÉO] Le service de livraison en ligne : « Ma pharmacie en France » disponible dès juin