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Une trousse de premiers soins régionale
Grâce à l’initiative de pharmaciens de la chambre syndicale de Vendée, une trousse de premiers soins sur mesure – ou presque – est un succès dans les officines du département.
L’idée est née à l’issue d’une réunion, en 2005, entre médecins régulateurs et pharmaciens au sujet des gardes. Créer une trousse de premiers soins éviterait de saturer d’appels les standards le dimanche matin, dont on sait que sept sur dix sont évitables. Sylvie Bergeau, titulaire à Aizenay, à la tête de la commission HAD de la chambre syndicale, a été épaulée par Eric Mauvoisin, installé à La Garnache, pour mener à bien le projet. « La Sécurité sociale, la MSA, l’Union mutualiste et la DDASS ont sponsorisé la logistique papier », explique-t-elle. Une affiche signale l’existence de la trousse dans les cabinets médicaux et officines de Vendée.
Trente euros environ la trousse
La trousse, d’une trentaine d’euros, s’adapte aux besoins des patients et des familles. Une plaquette donne les conseils de base en cas de maux de ventre, diarrhée, fièvre, nausées, vomissements et coups. Sur la trousse figure le numéro de téléphone du service de garde des médecins.
A l’approche des vacances d’été, Sylvie Bergeau en a déjà vendu 140. Sa vitrine arbore un message clair : « On part en vacances, la trousse s’adapte ! ». Une seule ombre au tableau : « Les médecins régulateurs qui se sont engagés dans ce projet avec nous ne parlent jamais de la trousse de premiers soins à leurs patients ! », déplore Sylvie Bergeau.
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