- Accueil ›
- Conseils ›
- Pathologies ›
- HAUTE-NORMANDIE
Pathologies
Réservé aux abonnés
HAUTE-NORMANDIE
Publié le 8 septembre 2007
Partager
Mettre en favori
Si 86 % des professionnels de santé sont favorables à l’idée d’informer leurs patients sur les infections nosocomiales, en pratique seuls 17 % le font. Selon l’enquête menée dans 22 établissements de la région, la première raison avancée est l’absence de demande de la part des patients (60,9 %). La peur de les inquiéter (42,6 %) arrive loin devant le manque de temps (7,8 %).
Publicité
Publicité
Publicité
- Un patient a entendu dire qu’il pouvait désormais prendre son comprimé de Lévothyrox le soir au coucher. Est-ce vrai ?
- Alerte aux méningites : vérifiez le statut vaccinal des patients
- L’ordonnance d’une patiente souffrant d’une sinusite aiguë
- [VIDÉO] Accompagner le patient parkinsonien à l’officine
- Eau oxygénée boriquée au Formulaire national
- Gilenya (fingolimod) : quelles conditions de délivrance ?
- Dispensation à l’unité : chassez-la par la porte, elle revient par la fenêtre
- Quelles populations sont actuellement à risque de développer un scorbut ?
- [VIDÉO] Arielle Bonnefoy : « Le DPC est encore trop méconnu chez les préparateurs »
- [VIDÉO] Le service de livraison en ligne : « Ma pharmacie en France » disponible dès juin