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- Le doute persiste
Une analyse sur 5 ans de la base de pharmacovigilance fait apparaître un excès de notifications de pancréatites aiguës avec les incrétines par rapport aux autres antidiabétiques, a estimé une étude présentée au congrès P2T (physiologie, pharmacologie et thérapeutique) qui s’est tenu à Poitiers du 22 au 24 avril. Sont impliqués, par ordre de fréquence décroissant, le liraglutide (Victoza), l’exénatide (Byetta), la saxagliptine (Onglyza), la sitagliptine (Januvia) et la vildagliptine (Galvus). Une partie de ces pancréatites survient sur des terrains à risque : antécédents de pancréatite, cholécystectomie, lithiase biliaire, hépatite, stéatose, cirrhose… Leur recherche avant d’initier un traitement est préconisée. L’ANSM a annoncé attendre les résultats d’une étude de pharmaco-épidémiologie sur les incrétines fin 2015.
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