- Accueil ›
- Conseils ›
- Maux du quotidien ›
- Le ressenti des parents
L’Ifop a enquêté pour la fondation Stallergènes auprès de 626 parents d’enfants scolarisés. Parmi les personnes interrogées, 28 % ont des enfants souffrant d’allergies respiratoires, 12 % d’allergies alimentaires et 12 % d’allergies médicamenteuses. Les parents citent comme principaux facteurs de développement la pollution et l’utilisation des pesticides. Viennent ensuite les changements d’alimentation, la surprotection des enfants en bas âge, l’augmentation de la sensibilité de l’organisme et le changement climatique. Si les parents connaissent la plupart des précautions à prendre pour atténuer les allergies respiratoires, certaines croyances demeurent, comme l’éviction des chats et des chiens. Or « un contact avant la naissance avec un animal de compagnie aurait un effet bénéfique sur le risque d’allergie, au moins à cet animal », estime le Dr Pham-Thi, allergologue et pneumo-pédiatre à l’hôpital Necker (Paris). Enfin, 69 % des parents d’allergique considèrent que les allergies respiratoires ont une incidence sur le quotidien des enfants, notamment leur scolarité.
- Un patient a entendu dire qu’il pouvait désormais prendre son comprimé de Lévothyrox le soir au coucher. Est-ce vrai ?
- Alerte aux méningites : vérifiez le statut vaccinal des patients
- L’ordonnance d’une patiente souffrant d’une sinusite aiguë
- [VIDÉO] Accompagner le patient parkinsonien à l’officine
- Eau oxygénée boriquée au Formulaire national
- Prophylaxie pré-exposition au VIH : dis, quand reviendra-t-elle ?
- Financement des officines : 4 solutions vertueuses… ou pas
- Prescriptions, consultations : les compétences des infirmiers sur le point de s’élargir
- Dispensation à l’unité : chassez-la par la porte, elle revient par la fenêtre
- Quelles populations sont actuellement à risque de développer un scorbut ?

