- Accueil ›
- Conseils ›
- Pathologies ›
- Antibiotiques, AVK, AINS et IPP en cause ?
Pathologies
Réservé aux abonnés
Antibiotiques, AVK, AINS et IPP en cause ?
Partager
Mettre en favori
Une étude de la Société de néphrologie de l’Ouest à paraître a mis en évidence la responsabilité de 4 classes thérapeutiques dans la survenue de néphropathies immunoallergiques : 24 cas sur 1 an, dont 33,3 % impliquaient les AVK, surtout la fluindione. Antibiotiques et AINS sont responsables chacun de 20,8 % des cas. Enfin, les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) causent 16,7 % des néphropathies. AVK et IPP sont apparemment à l’origine d’une atteinte rénale plus sévère. Les auteurs de l’étude recommandent donc la surveillance de la créatininémie entre la 2e et la 4e semaine après l’introduction d’un de ces médicaments chez les patients souffrant déjà d’une insuffisance rénale chronique.
Publicité
Publicité
Publicité
- Un patient a entendu dire qu’il pouvait désormais prendre son comprimé de Lévothyrox le soir au coucher. Est-ce vrai ?
- Alerte aux méningites : vérifiez le statut vaccinal des patients
- L’ordonnance d’une patiente souffrant d’une sinusite aiguë
- [VIDÉO] Accompagner le patient parkinsonien à l’officine
- Eau oxygénée boriquée au Formulaire national
- Prophylaxie pré-exposition au VIH : dis, quand reviendra-t-elle ?
- Financement des officines : 4 solutions vertueuses… ou pas
- Prescriptions, consultations : les compétences des infirmiers sur le point de s’élargir
- Dispensation à l’unité : chassez-la par la porte, elle revient par la fenêtre
- Quelles populations sont actuellement à risque de développer un scorbut ?