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Génériques : les médecins hospitaliers prescrivent davantage hors du répertoire
Cette tendance n’est pas nouvelle. La prescription par les médecins hospitaliers de médicaments génériques n’est pas « systématique », comme le souligne la dernière étude de l’IMS Health.
« Les prescripteurs hospitaliers ont moins tendance à prescrire des produits qui pourraient être substitués en pharmacie, leur préférant des produits de marque », indique cette société qui cite particulièrement quatre classes thérapeutiques dans un communiqué : les antidépresseurs, les antihistaminiques, les antipsychotiques ou encore les immunodépresseurs.
En établissant une « modélisation » classe thérapeutique par classe thérapeutique et en alignant les pratiques hospitalières sur celles des médecins de ville, IMS Health estime qu’une économie annuelle potentielle de 294 millions d’euros pourrait être réalisée.
Ces économies seraient particulièrement importantes dans cinq classes thérapeutiques : les immunosuppresseurs, les antihormones et apparentés, les antiviraux hépatiques, les antipsychotiques et les antirétroviraux.
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