- Accueil ›
- Thérapeutique ›
- Vigilances ›
- Dépakine : l’APESAC réagit
Vigilances
Réservé aux abonnés
Dépakine : l’APESAC réagit
Publié le 27 août 2016
Partager
Mettre en favori
«Le problème de droit est devant nous. Il est touffu comme dans le cas Médiator. Les familles devront prouver qu’il y a une cause à effet direct entre la prise du valproate et les conséquences dramatiques. Ce n’est ni facile à démontrer, ni forcément toujours vrai. Il ne s’agit pas d’interdire aux femmes épileptiques (ou bipolaires, on les oublie) de procréer, mais d’envisager, en cas de grossesse – et comme on le fait déjà dans bien d’autres pathologies – une alternative moins aléatoire dans l’état actuel des connaissances scientifiques.»
Actualité publiée le 24 août 2016 sur lemoniteurdespharmacies.frPublicité
Publicité
Publicité
- Tramadol et codéine : les points clés de l’ordonnance numérique sécurisée
- Analogues du GLP-1 : le conseil constitutionnel impose au médecin d’informer de la non-prise en charge
- Petit récap des nouvelles règles sur le tramadol et la codéine au 1er mars 2025
- Rupture de stock de Iopidine : par quoi le remplacer ?
- Quétiapine : pas de retour à la normale avant l’automne
- Financement des officines : 4 solutions vertueuses… ou pas
- Prescriptions, consultations : les compétences des infirmiers sur le point de s’élargir
- Dispensation à l’unité : chassez-la par la porte, elle revient par la fenêtre
- Quelles populations sont actuellement à risque de développer un scorbut ?
- Gilenya (fingolimod) : quelles conditions de délivrance ?
Sur le même sujet…

