Médecines douces : l’importance du bouche-à-oreille

© Les amateurs de médecine douce s’appuie sur le bouche-à-oreille pour choisir leur praticien - DR

Médecines douces : l’importance du bouche-à-oreille

Publié le 12 décembre 2017
Par Matthieu Vandendriessche
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Les médecins douces ont le vent en poupe. Le Baromètre santé Pages Jaunes 2017 diffusé ce mardi 12 décembre montre que les naturopathes, les hypnothérapeutes et les sophrologues sont les professions de santé dont les recherches sur pagesjaunes.fr progressent le plus cette année, derrière les chiropracteurs et les étiopathes. Pour ces deux dernières professions, c’est le mal de dos qui incite à la consultation.

Et ces médecines alternatives se renforcent, confirme un sondage du site d’information Medoucine.com paru le 7 décembre. Selon lui, près des deux tiers des praticiens (ostéopathes, acupuncteurs, homéopathes, hypnothérapeutes, etc.) ont étudié plus de 2 ans. Et 85 % des plus de 35 ans n’ont pas de doutes sur l’efficacité des pratiques, 82 % pensant même utiliser encore plus souvent les médecines douces à l’avenir.

Les patients ont besoin de recommandations sur un praticien en particulier. Dans 83 % des cas, le bouche-à-oreille est une source importante de clientèle. Mais cela ne viendrait pas des médecins puisque seulement 10 % des praticiens travaillent plus de la moitié de leur temps grâce à une clientèle adressée par un médecin. 

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