- Accueil ›
- Conseils ›
- Pathologies ›
- Acétate de cyprotérone et méningiome
Pathologies
Réservé aux abonnés
Acétate de cyprotérone et méningiome
Publié le 23 août 2018
Partager
Mettre en favori
Une étude pharmaco-épidémiologique de l’Assurance maladie quantifie le risque de méningiome (tumeur le plus souvent bénigne des méninges) lié à l’utilisation prolongée d’acétate de cyprotérone (Androcur et génériques). Ce risque est multiplié par sept chez les femmes exposées à de fortes doses (plus de 3g sur 6 mois avec poursuite du traitement). Et par vingt après 5 années de traitement à 50 mg/jour ou 10 années à 25 mg/jour, 20 jours par mois.
Publicité
Publicité
Publicité
- Un patient a entendu dire qu’il pouvait désormais prendre son comprimé de Lévothyrox le soir au coucher. Est-ce vrai ?
- Alerte aux méningites : vérifiez le statut vaccinal des patients
- L’ordonnance d’une patiente souffrant d’une sinusite aiguë
- [VIDÉO] Accompagner le patient parkinsonien à l’officine
- Eau oxygénée boriquée au Formulaire national
- Financement des officines : 4 solutions vertueuses… ou pas
- Prescriptions, consultations : les compétences des infirmiers sur le point de s’élargir
- Dispensation à l’unité : chassez-la par la porte, elle revient par la fenêtre
- Quelles populations sont actuellement à risque de développer un scorbut ?
- Gilenya (fingolimod) : quelles conditions de délivrance ?
Sur le même sujet…

