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Faudrait savoir

Publié le 23 septembre 2019
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Il y a quelques années, certaines officines commercialisaient des cigarettes électroniques. J’ose espérer que ce n’est plus le cas. Je n’ai jamais cru à l’innocuité de ces ersatz de cigarettes vendus par les cigarettiers. Pas assez de recul pour exprimer leur nocivité ou pas. Des études montrent qu’elles provoquent aussi des dégâts pulmonaires. D’où l’importance de maintenir la pression pour favoriser le sevrage et notre rôle dans la prévention.

Claude, préparateur dans le Pas-de-Calais (62)

Porphyre répond

Les marchandises autorisées à la vente en officine sont listées dans l’arrêté du 15 février 2002 qui exclut les cigarettes électroniques. Leur nocivité n’est pas avérée, mais leur aide dans la diminution du tabagisme est réelle. Attendons de plus amples études. En outre, prendre en charge une addiction passe par une politique de réduction des risques, le sevrage en est l’une des étapes.

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