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Gels hydroalcooliques : et les prix de cession et prix de vente sont fixés à…

Publié le 14 mars 2020
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« Je te donne quand même mon exemple, je me suis aligné ce matin sur les 3 € pour 100 ml. Je vends à perte et je perds plus de 1 € par flacon de 100 ml…

Donc oui, j’étais à un prix élevé avant (5,95 €), mais simplement car je n’ai trouvé qu’un fournisseur et qu’il était très cher…

Donc on entend toujours parler des pharmaciens voleurs, mais moi je n’y suis pour rien, je faisais 1,4 de coeff, ce n’est pas exagéré non plus… »

« Je comprends que les prix doivent être contrôlés, mais […] si c’est pour faire du prix coûtant, cela risque de démotiver les ventes alors qu’il est souhaitable que [les gels] puissent être facilement accessibles à un plus grand nombre de personnes rapidement. »

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« Encore une preuve que l’appellation « profession libérale » ne signifie plus rien. Nous ne sommes plus que des exécutants de l’Etat pour lequel nous réalisons des actes et servons de dépositaires. »

L’instantané

La France a peur. Elle provisionne de l’épicerie sèche et des conserves, elle n’embrasse plus et remplace ses poignées de main par un petit air gêné, les plus frondeurs optant pour le subversif « foot shake » !

En attendant des jours meilleurs, entre hausses des températures et chute boursière, la France fait moins la forte tête, elle éternue dans son coude et serre les fesses.