- Accueil ›
- Conseils ›
- Pathologies ›
- Ophtakit Allergie, dans la conjonctivite allergique
Ophtakit Allergie, dans la conjonctivite allergique
Après Ophtakit Œil rouge, le laboratoire Théa propose un deuxième kit permettant de conseiller au comptoir tout le nécessaire pour la prise en charge d’une conjonctivite allergique.
Indication
Prise en charge, chez l’adulte et l’enfant à partir de 4 ans, des symptômes d’allergie oculaire tels que démangeaisons des yeux associées à des sensations de brûlure, rougeur, gonflement, larmoiement excessif.
Ophtakit Allergie peut être utilisé par la femme enceinte ou qui allaite.
Mode d’action
Le kit rassemble tout ce qu’il faut pour laver et traiter les yeux : des unidoses de la solution de lavage oculaire Theawash (acide borique 1,8 %), des compresses en non-tissé stériles pour essuyer les yeux et des unidoses du collyre antiallergique Naabak (acide N-acétyl aspartyl glutamique).
Mode d’emploi
Se laver les mains et retirer d’éventuelles lentilles de contact.
Effectuer un lavage des yeux avec la solution Theawash. Une unidose peut être employée pour le traitement des deux yeux. Essuyer l’excédent de solution sur les paupières et leurs bords libres avec une compresse, sans toucher l’œil.
Attendre 10 minutes avant d’instiller 1 à 2 gouttes de collyre Naabak en unidose.
Attendre 15 minutes avant d’instiller tout autre collyre.
Répéter ce protocole 2 à 6 fois par jour.
Consulter un médecin si les symptômes ne s’améliorent pas.
Fiche technique
Boîte de 10 unidoses de 5 ml de solution pour lavage oculaire, 10 compresses stériles 5 cm x 5 cm en sachet de 5 et 10 unidoses de 0,4 ml de collyre antiallergique, PPI : 14,90 €, EAN : 36620 420 101 8 7.
Théa : 0 808 800 100
- Du biberon aux médicaments : une exposition retrace l’histoire de la pharmacie et de la pédiatrie
- Le « challenge paracétamol » : un phénomène inquiétant aux portes de la France ?
- Aspartame : une pétition réclame son interdiction à l’échelle européenne
- Vapotage de substances psychoactives : l’ANSM tire la sonnette d’alarme
- Un patient a entendu dire qu’il pouvait désormais prendre son comprimé de Lévothyrox le soir au coucher. Est-ce vrai ?