- Accueil ›
- Préparateurs ›
- Métier ›
- Pensez à consulter Asafo
Un pharmacien délivre un médicament d’exception sur présentation d’une ordonnance qu’il ignore volée. La CPAM découvre le vol et refuse la prise en charge. Le pharmacien saisit les tribunaux pour faire valoir sa bonne foi et se faire payer. En première instance, le tribunal de Bobigny (93) estime qu’il n’avait pas les moyens de savoir que l’ordonnance était volée. La Cour de cassation considère, dans sa décision n° 19-24.009 du 18 mars 2021, que le pharmacien aurait pu s’apercevoir de la falsification s’il avait interrogé Asafo (Alerte sécurisée aux fausses ordonnances). Cette application des CPAM d’Île-de-France permet de consulter les signalements de fausses ordonnances et les vols. Ainsi, le refus est justifié. La pharmacie devra assumer les 3 526 €.
- Retrait des tests Covid-19 aux préparateurs : le ministère n’était pas au courant !
- [VIDÉO] Damien Chamballon : « Les préparateurs sont prêts à s’engager dans les nouvelles missions »
- Tests de dépistage du Covid-19 : les préparateurs ne peuvent plus les réaliser
- Tests Covid-19 interdits aux préparateurs : la profession interpelle le ministère
- Préparateurs, le CNP PPO attend encore vos vœux de DPC
- Pénuries de médicaments : du mieux, vraiment ?
- Ritaline de nouveau disponible
- Décarbonation pharmaceutique : va-t-elle faire grimper le prix des médicaments ?
- Philippe Besset brigue un nouveau mandat à la tête de la FSPF
- Innovation thérapeutique : la France face au paradoxe d’un pipeline prometteur mais d’une attractivité en berne


