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- Quand une pause s’impose
Exténués par la période Covid qui n’en finit plus, pas toujours récompensés pour les efforts fournis, vous vous demandez peut-être pourquoi vous continuez à travailler en officine. Partir ? Rester ? Comment distinguer un ras-le-bol temporaire d’un réel besoin de changer d’air ? Une chose est sûre, il faut prendre son temps et réfléchir à soi (lire p. 34). Et si vous vous dites qu’un enrichissement de votre activité ou de nouvelles responsabilités pourraient raviver votre intérêt pour votre métier, vous serez peut-être intéressés par le nouveau CQP et une spécialisation en matériel médical (lire p. 6).
Comme chaque année, octobre se teinte de « rose », mais là encore la Covid perturbe les bonnes résolutions puisque la participation au dépistage organisé du cancer du sein « a chuté considérablement, pour atteindre un taux historiquement bas de 42,8 % », selon la Ligue contre le cancer*.
Et puis il y a les femmes déjà en traitement, à qui vous pouvez signifier que lutter pour leur survie ne justifie pas l’oubli de leur féminité et que des solutions existent pour celles confrontées à une ménopause iatrogène brutale (lire p. 32).
En attendant qu’un peu de calme revienne au comptoir, prenez le temps de vous poser et portez-vous bien !
(*) Contre 48,6 % en 2019, 51,6 % en 2013… Source : Santé publique France.
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