Prévention et dépistage : à ouvrir le plus largement possible

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Prévention et dépistage : à ouvrir le plus largement possible

Publié le 1 octobre 2021
Par Francois Pouzaud
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Reçue par Olivier Véran, mercredi 29 septembre, dans le cadre de consultations avec la profession préalables à l’envoi de sa lettre de cadrage à l’Assurance maladie concernant la convention nationale pharmaceutique, l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO) a présenté au ministre de la Santé ses propositions pour la pharmacie. Sur les médicaments biosimilaires, ce syndicat est favorable à l’égalité des marges entre médicaments biologiques de référence et biosimilaires et à une rémunération du pharmacien pour son acte de prise en charge du patient en cas de substitution ou d’interchangeabilité (présentation des biosimilaires et formation du patient à son traitement). « La rémunération d’un entretien pharmaceutique ne met pas le pharmacien en opposition avec le médecin qui, de son côté, percevra une rémunération pour sa prescription de biosimilaire financée par les économies générées qui seront donc plus faciles à cibler », explique Pierre-Olivier Variot.

L’USPO a défendu aussi que la pharmacie devait être le lieu de prévention « pour tous les vaccins de l’adulte et la vaccination HPV chez les jeunes » et de dépistage. « Il faut donner accès à la pharmacie à tous les tests rapides d’orientation diagnostique (TROD) et non pas faire de ces dispositifs une exception en pharmacie, si besoin, on pourra en retirer au coup par coup ».

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