Les aliments les plus riches en iode sont principalement d’origine marine : on en trouve dans les poissons (églefin, saumon, morue), les mollusques (huîtres) et les crustacés (langoustine, homard), qui en contiennent jusqu’à 400 µg/100 g. Dans une moindre mesure, cet oligoélément est contenu aussi dans les œufs et les produits laitiers (fromage de brebis ou de chèvre, parmesan, brie). En France, dans le cadre d’une mesure de santé publique, le sel de table est utilisé comme vecteur d’enrichissement en iode et constitue une source à prendre en compte dans le calcul des apports journaliers. Les algues marines, fraîches ou séchées, peuvent être particulièrement riches en iode (notamment les algues brunes laminaires et les algues rouges). Leur teneur étant variable en fonction des conditions de production, leur consommation régulière présente un risque non négligeable de dépassement des limites supérieures de sécurité.
Source : Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses).
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