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- Concentrés de la mer Morte
Créée il y a 25 ans, la marque israélienne Ahava figure aujourd’hui parmi les leaders du marché de la cosmétique dans son pays d’origine. Signe particulier : les ingrédients des soins visage et corps sont issus de la mer Morte : minéraux, eau, boue, plantes du désert. Aujourd’hui, la marque est commercialisée dans 25 pays à travers le monde. En France, elle est présente depuis 8 ans, historiquement dans les établissements thermaux et les spas. Elle s’est immiscée en pharmacie depuis deux ans où elle est distribuée par la société Eolys Beauté. On la trouve dans une centaine de pharmacies sélectionnées pour leur conseil actif (400 points de vente visés à terme). Ahava a la spécificité de développer des soins high-tech et d’innover constamment, à raison d’un nouveau produit toutes les six semaines. Derniers lancements en date : le sérum Concentré Osmoter de la mer Morte et le Peeling régénérateur visage. Leur point commun : ils renferment l’actif breveté dénommé Osmoter. Cet extrait concentré d’eau de la mer Morte active le processus d’hydratation naturelle de la peau. Dans le sérum, l’Osmoter est trois fois plus dosé que dans les autres soins de la marque. Ce qui lui confère des propriétés protectrice et activatrice de luminosité. Le peeling, minéral, se veut quant à lui moins irritant que les peelings chimiques avec « grains ». Il bénéficie de la technologie Citration, qui utilise l’eau de la mer Morte pour stabiliser et libérer de la vitamine C pure.
PPC* : 49 € le sérum Concentré Osmoter de 40 ml, 37 € le Peeling de 100 ml.
* PPC : Prix public conseillé
Fabrication locale
L’usine Ahava est directement implantée sur les rives de la mer Morte d’où elle extrait les richesses naturelles. Le centre international de recherche et d’analyse de la marque est également installé aux abords du village d’Ein Gedi. Dans le souci de préserver l’environnement, au-delà du contrôle du degré salin de la mer Morte, Ahava a mis en place un système de filtration des eaux sales à base de plantes pour protéger la flore du désert. La démarche de développement durable se retrouve dans les emballages – tous recyclables – et dans l’absence de tests sur animaux.
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